Je m’appelle Amaury Vian (mais ça, vous le savez peut-être)
Je suis amoureux de ma femme, de la guitare sèche et de la photographie argentique en noir et blanc. J’aime les longues promenades sans but prédéfini, l’appareil à la main, si possible en rase campagne. J’ai une affection particulière pour les voyages, les monuments anciens, les lieux chargés d’histoire, la glace au citron et les vieilles pierres. J’aime les chats, le bon café, les expressos (expressi ?), le vieux rock, les chansons à texte, Brel et Brassens et les Beatles (pour ne citer qu’eux), fabriquer des souvenirs, les westerns, les gazouillis des enfants, offrir des fleurs.
Je n’aime pas la télévision, les courgettes, les chaussettes qui grattent, l’excessive sophistication, les essuie-glaces non fonctionnels, les sites web qui interdisent le clic droit.
J’ai grandi au bord de la Méditerranée et la vie m’a mené dans le Vexin après un bref passage dans le Nord et après plusieurs années à Toulouse.
J’essaie de prendre des photos simples, mais faisant sens. De ne pas arriver avec un modèle prédéfini dans ma tête prêt à être recraché, décliné à l’infini, mais de partir de la spécificité de ce que je vois pour en saisir l’authenticité, la nature profonde.
Je ne me revendique d’aucune mouvance en particulier. J’aime dire que je fais de la photographie, tout simplement, ce qui a l’avantage d’être un travail toujours différent, toujours renouvelé.
J’aime travailler sur le fil du rasoir, produire, élaborer sur pièces, en direct, en m’adaptant. Ne jamais faire deux fois la même chose. Planifier en amont, découvrir, réagir, puis peaufiner…