Un court-métrage de Jacques Drouin fait avec une technique particulière : l’écran d’épingle d’Alexeïeff-Parker. C’est un stop-motion avec un tableau blanc rempli avec 240 000 épingles noires qu’on peut enfoncer plus ou moins ce qui va créer du contraste et on va donc pouvoir dessiner des images.
Les images créées sont ensuite photographiées une par une et montées pour en faire une film.
La technique étant longue et fastidieuse, le nombre de cinéaste ayant utilisé cette technique est très limité.
Ne cherchez pas, je ne m’y essaierai pas. Antoine, ça te dit ?
SI vous voulez en savoir plus sur cette technique, je vous invite à regarder ce documentaire qui a été tourné en 1973 présentant le « Pinscreen », la vidéo est un lente et un peu longue, en plus on dirait qu’ils vont tous se pendre, mais pour la culture, ça fait du bien !