Place aux femmes ! On présente que des mecs et des gens quasi tous crevés, place à l’innovation mes enfants.
Aujourd’hui on va s’intéresser à Marta Nael, de son vrai nom Marta de Andrés, mais comme André c’est un prénom masculin elle a préféré choisir un nom de famille à consonance féminine, pour pas que ses fans gueulent « ANDRE ON T’AIME » quand ils la voient dans la rue… Moi, perso, je comprends ; mais je n’ai rien contre les André, j’aime beaucoup André Rieu, non c’est faux.
BREF. Vamos a la playa señor zorro ! Marta est espagnole, elle n’est pas très connue, du moins pas autant que Hopper, Freud, Adams, Drouin, Burton etc. Artistes en tous genres déjà présentés par nos soins précédemment.
J’ai acheté ses différents artbooks mais je trouvais idiot de vous scanner des pages de dessins qui sont principalement du digital-painting (c’est un peu comme publier la photo d’une photo numérique, ça n’a pas de sens, et j’aime le sens ! et le saucisson), bien qu’elle pratique également la peinture à merveille. Donc je me suis permis de piocher des images de ses œuvres sur l’internet. C’est un peu comme publier la photo d’une photo numérique, ça n’a pas de sens.
Elle s’est fait connaître principalement grâce à ses fantastiques personnages, ses couleurs dynamiques, mais je dois avouer avoir un légère préférence pour ses paysages, bien que plus classiquement réalisés. L’espace, la grandeur, le côté épique, je trouve ça tellement plus imaginatif et parlant.
Elle s’attaque un peu à tout, le réel, l’irréel, la macro et le micro. Quelques illustrations supplémentaires :
Pour aller plus loin :
- Son DeviantArt
- Son Facebook (mise à jour plus fréquent que sur DA)